29 avril 2010
Ophélie...
Source inaltérable de beauté et de chaleur,
Enfin par un regard innocent de bonheur,
Tu as sans le vouloir apporté sans leurre,
Un déluge de sourires et de joie dans mon cœur.
Traversant les couloirs et les salles éclairées,
Tu surprends d'imaginaires amoureux ébouriffés,
Par la traversée de ton parfum diffusé déci-delà,
Que tu sèmes à tous vents, ne sachant que je suis là.
Me confondant au coin d'une porte quelconque,
Je n'ai que hâte d'accrocher une agréable image,
D'atténuer les instants d'attentes, étranges,
Qui se promènent dans mes pensées bien sages.
Hélas, je suis devenu apôtre de chimères,
Me voyant sans espoirs à mes requêtes,
Je retourne vers ma raison d'être d'être,
Un illusionniste, trahi par ses rêves.
Pascal.
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